Léquipe de Ségolène
Les directeurs de campagne :Jean-Louis Bianco et François Rebsamen la coordination des forces politiques M. Hollande, Jean-Michel Baylet, président des radicaux de gauche (PRG) Jean-Pierre Chevènement, président d'honneur du MRC, ce dernier est également chargé de la coordination des interventions thématiques Le pôle "expression publique" Jack Lang et Julien Dray : "conseillers spéciaux" : Trois porte-parole sont nommés, dont l'action sera coordonnée par M. Bianco Arnaud Montebourg, Vincent Peillon et Najat Belkacem, Jean-Marie Le Guen (strauss-kahnien) et Annick Lepetit (jospiniste) sont chargés de coordonner les argumentaires de campagne. Et la communication presse internationale Elisabeth Guigou et Manuel Valls. presse nationale: Claude Bartolone, (fabiusien ) et Delphine Batho, proche de Julien Dray, presse régionale Gilles Savary et Jean Guérard; Une équipe du pacte présidentiel composée de treize personnes chargées d'animer et de tenir des réunions de campagne à travers le pays Pierre Mauroy, Henri Emmanuelli, Bertrand Delanoë, Martine Aubry, Bernard Kouchner, Gérard Collomb (maire de Lyon), Yvette Roudy (ancien ministre), Jean-Pierre Bel Jean-Marc Ayrault, François Hollande, Laurent Fabius Dominique Strauss-Kahn, Lionel Jospin Réunions publiques, déplacements: Patrick Mennucci Communication interne, mobilisation des fédérations: Bruno Le Roux Eugène Caselli Christiane Demontès Gilles Pargneaux Coordination des réponses aux questionnaires: Stéphane Le Foll Coordination des réponses au courrier: Thierry Mandon Relations syndicats / associations / société civile: David Assouline Association de financement: Dominique Bertinotti Maintenant se pose la question de la nécessité. Ses présences aux côtés de Ségolène démontrent sa capacité à rassembler son propre camp et, au-delà, de ses fidèles. Cette situation devrait faire tomber des réticences, voir des résistances. Bayrou, qui ambitionnait de récupérer les jospinistes ou strauss-kahniens, devra revoir son mode opératoire car il n’a pas su les convaincre, à l’exception, peut-être (1), de quelques-uns, qui vont, de nouveau, rejoindre le mouvement correspondant à leur véritable sensibilité, c’est à dire Ségolène A l’inverse, le fait, que les éléphants, reviennent nuit à l’image novatrice de Ségolène. Même si, Sarkozy depuis le début a conservé les éléphants de l’UMP : Fillon, Juppé, Raffarin, Alliot-marie, etc… Ce qui est important, semble-t-il, n’est pas l’affichage mais le programme et ce dernier n’est nullement remis en cause. Donc ce sont les éléphants qui font allégeance et non l’inverse. C’est fort ! Ce rassemblement a pour avantage de diluer les fonctions, des uns et des autres, et ainsi de ne dépendre de quiconque, et notamment pas de M. Fabius, Jospin ou "DSK" qui sont prompts à la trahir. Ces derniers ne peuvent pour l’instant rester inertes, car ils endosseraient la responsabilité d’une hypothétique défaite de la gauche ou ne pourraient plus se faire prévaloir d’une partie d’une éventuelle victoire de Ségolène. Par cette décision, Ségolène démontre sa capacité à s’adapter à toutes situations, sans perdre la main, par ses grandes facultés d’écoute, d’analyse et de synthèse. Ce qui est prometteur pour l’avenir, car s’il advenait qu’elle ait à assumer les plus hautes fonctions. Ses potentialités lui permettront de résoudre les problèmes les plus aigus, quelles qu’en seraient les circonstances, en instaurant un champ de praxis, créant ainsi une synergie des volontés dans l’optique d’atteindre le même but. Sarkozy tente de le faire avec autoritarisme (refus à Dupont-Aignan de s’exprimer lors du congrès d’investir de l’UMP¨ce qui a conduit à son départ) et Bayrou essaie en vain (il ne parvient même pas à conserver les adhérents de son propre parti, dernier exemple en date Santini) (1) les Spartacus collectif de 30 hauts fonctionnaires en activité dans l'administration centrale soutenant Bayrou et se disant Socialiste. L’anonymat permet toutes allégations étaient-ils réellement socialistes ? Est-ce une nouvelle manipulation ? Les hauts fonctionnaires (Haut fonctionnaires = haut revenu ) savent qu’ils ne perdront pas leurs privilèges avec Bayrou, très conciliant, ne voulant pas faire de vagues.